C’est une petite architecture d’une ère postdigitale, un espace infini qui se transforme en un événement interactif et ludique. Une fois à l’intérieur, les repères cartésiens disparaissent, et l’instabilité, le chaos et l’incertitude deviennent des raisons de célébrer. Contrairement à un appareil numérique, ici, la sensualité — c’est-à-dire la relation entre le corps et l’espace réel — est le principe actif. En fin de compte, il s’agit d’une sculpture cinétique low-fi, fabriquée en tissu élastique tendu, qui est mise en mouvement par les personnes à l’intérieur et, la nuit, peut se transformer en une sculpture vivante peinte à la lumière.
Depuis la création du CUC, nous avons participé à des festivals d’art, d’architecture et de lumière, des festivals pour enfants, des musées et des événements culturels à travers le monde, tels que le FAD (Barcelone), le Jardin des Tuileries (Paris), le Bronx Museum (New York), les Candem Night Gardens (Philadelphie), le Pavilion de Lanfant (Aix-en-Provence), le Teatro Tantarantana (Barcelone), le Jardí de Pedralbes (Barcelone), parmi d’autres…